J'en profite
Je sais que ce temps qui s'étire devant moi ne durera pas. Je sais que dans deux mois, ma présence à la maison redeviendra indispensable, et que les moments que je m'accorde se réduiront. Je le sais, je ne le regrette pas ; mais du coup, je savoure ces moments de liberté, de silence et de tranquillité.
J'ai succombé, comme beaucoup de monde je crois, au charme du film L'arnacoeur, comédie romantique française avec une brochette d'acteurs au top. Je crois que nous n'avons plus rien à envier aux Américains. A certains moments, ça m'a fait pensé à Hors de prix, que j'avais aussi beaucoup aimé : Monaco? Les belles tenues de Vanessa Paradis? J'ai passé un bon moment de cinéma.
Puis j'ai terminé La mémoire fantôme de Franck Thilliez. Un polar français qui n'a rien à envier aux productions de Maxime Chattam, un nom à se garder sous le coude lorsque l'on va à la bibliothèque et que l'on a pas vraiment le temps de chercher.
Comme prévu, j'ai fait un petit raid à la Librairie du Renard :
J'avais entendu que Boris Cyrulnik avait sorti le récit de sa jeunesse avec Je me souviens...
Gilles et moi sommes très intéressés par l'expérience de Colin Beavan, No impact man
les personnages de Katherine Pancol m'avaient tellement charmée que j'ai sauté sur son dernier roman, Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi.
Voilà. Petit compte-rendu dans les prochaines semaines.